8.5.07

La UM

« Je suis ici pour réparer une gaffe et faire amende honorable », a déclaré Nicolas Sarkozy au responsable du protocole venu l'accueillir à son arrivée à Malte. C’est l’information que l’agence italienne Ansa a divulgué. Dans un discours prononcé le 07 février à Toulon, Nicolas Sarkozy avait en effet souligné sa volonté de renforcer le front méditerranéen à l'intérieur de l'Union européenne en omettant de citer Malte, ce qui n'avait pas manqué d'être relevé par l'ambassadeur maltais à Paris. « C’est à la France, européenne et méditerranéenne à la fois, de prendre l’initiative avec le Portugal, l’Espagne, l’Italie, la Grèce et Chypre, d’une Union Méditerranéenne comme elle prit jadis l’initiative de construire l’Union européenne »


crisdovale

6 Comments:

At 10:24 da manhã, Anonymous Anónimo said...

Espera-se que os poderes do nosso país adiram com empenho a esta iniciativa de enorma visão estratégica.
jmn

 
At 10:34 da tarde, Anonymous Anónimo said...

De momento não me parece muito adequado.
Há que garantir previamente outros objectivos no quadro da U E ,sem que se criem "aparentes"(?) divisões de agenda.
Tal comop na teoria estratégica da escola de configuração (Mintzeberg, Chandler, Miles & Snow, et alt.): "Cada coisa no seu tempo".
LC

 
At 12:20 da manhã, Anonymous Anónimo said...

Não parece ser a ideia, a de dispersar a construção da europa, embora reconheça que tal aspecto tem obviamente de ser cuidado. Recomendo uma vista a:
http://www.fenetreeurope.com/php/page.php?section=actu&id=7370

Além do mais, esta trajectória teria a vantagem inestimavel de tratar a questão da Turquia num plano que talvez viesse a revelar-se uma verdadeira quadratura do circulo.
jmn

 
At 12:24 da manhã, Anonymous Anónimo said...

Em aditamento ao anterior:

Nicolas Sarkozy veut relancer le dialogue entre l'Union européenne et ses rives méditerranéennes voisines. Le ministre de français de l’Intérieur et candidat à la présidence de la France en mai 2007 propose ainsi la création d’une nouvelle organisation internationale qui regrouperait les Etats européens riverains de la Méditerranée et ceux de l’autre côté de la grande mer.

Le nouvel ensemble se nommerait l’"Union méditerranéenne" et aurait, tout comme l’UE, un Conseil décisionnel, le "Conseil de la Méditerranée" et un système de sécurité collective qui, selon le ministre, "lui permettrait de garantir la paix autrement que par la course aux armements et l'intimidation" et une "Banque méditerranéenne d'investissement" qui, à l’image de la BCE, financerait les projets communs à tous les pays membres de cette nouvelle Union.

"L'avenir de l'Europe est au Sud. Nous avons trop longtemps tourné le dos à la Méditerranée", a déclaré Nicolas Sarkozy. Pour l’homme politique, le dialogue Euro-Méditerranée lancé en 1992 à Barcelone est un échec et la reconstruction de la coopération entre les deux rives est toute à refaire.

Le Schuman de la Méditerranée imagine cette Union basée sur trois piliers politiques: une politique commune d'immigration choisie, une stratégie écologique avec, entre autres, une gestion commune de l'eau et enfin une politique commune de co-développement.

Cependant, Sarkozy n’a pas encore dessiné les contours exacts de cette Union. L’Espagne, le Portugal, l'Italie, la Grèce et Chypre ont été cités par le candidat comme partenaires européens mais aucun autre pays non européen pouvant faire partie de l’éventuelle Union n’a été précisé.

Sarkozy s’est juste contenté de rappeler que cette Union pourrait être considérée comme une alternative pour les pays qui n’ont, à son avis, rien à faire au sein de l’Union européenne, tel la Turquie. D.A.

JMN

 
At 6:21 da tarde, Anonymous Anónimo said...

O problema é que a Turquia,,,quem trata é a Alemanha.
Aqui tudo gira neste binómio.
Caldos de galinha e cautela nunca fizeram mal a ninguém,e estratégias de confrontação têm regras específicas, onde a dimensão dos intervenientes é um aspecto crucial.
É por isso que a inovação é tão requisitada pelos pequenos, não para serem grandes mas para serem mais rápidos.
LC

 
At 6:26 da tarde, Anonymous Anónimo said...

Antes de liderar o projecto "mare nostrum XXI" a nova gestão do Eliseu tem de interpretar outras partituras de afirmação política.
A confiança, a credibilidade e a bondade do projecto, carecem de um exercício complexo e temporalmente estendido.
Percebo a "Bandeira" e o seu ressurgimento, mas é fundamental preservar e construir equilíbrios.
RR

 

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